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Ecailles et salamandres : un blog 90 % sans pub (comme le service public) Instantanés cinéphiles :
BattleStar Galactica Saison 4 : le show à ne pas manquer, l'une des séries les mieux écrites et jouées
depuis longtemps. Les créateurs (à l'instar de ceux de The Shield) ont le courage de lui donner une fin alors qu'elle bénéficie d'une popularité intacte.
Où tout n'est pas rose au pays du sourire... La thaïlande reste un monarchie constitutionelle très autoritaire et le Laos un pays sans opposition politique où les minorités éthniques sont souvent pauvres et déconsidérées...
Voici trois articles du monde sur une expulsion massive en cours (et oui la France n'a pas le monopole).
Ou les folles aventures de Persée par notre compatriote Louis Letterrier.
Une bande annonce où les effets spéciaux semblent crédibles ou l'on retrouve Sam Terminator Salvation Worthington bien crédible en guerrier musclé qui saute comme Brad Pitt fondant sur un troyen et range son épée en frimant un tantinet.
De la mythologie, de l'action, des gros monstres, de quoi patienter en attendant The Hobbit du maestro Guillermo Del Toro.
La troisième saison de l'excellente et gay-friendly série anglaise se révèle être beaucouip plus sombre que les opus précédents. Si le rythme connait quelques faiblesse au cours des deux derniers épisodes. L'émotion est bien présente pour les fidèles de la première heure. et le script est sans concessions.
Paisible remontée du flux asiatique, mère de toutes les eaux. Refuge duPangasianodon Gigas, salle d'eau d'innombrables villages poussiéreux jetés entre les lambeaux d'émeraude antidéluviens. La luxuriance de la forêt tranche avec le tumulte paisible du fleuve, rythmé de légers rapides où affleurent d'imposant blocs rocailleux évoquant parfois les côtes bretonnes.
Etrange caravane d'êtres en route vers une destination commune, bateau creuset, les nations s'y cotoient, s'observent ou s'ignorent. Expériences parallèles multiples en un lieu unique. A travers ces filtres, la réalité d'un pays se projette sur les facettes conscientes des individus. Le voyageur, le touriste se frôlent sans se comprendre. L'un rencontre, tente de comprendre, l'autre exporte un modèle braillard d'universalité dont la bière et l'irrespect en sont le marbre et le liant.
Etape corrompue, Pak Beng voit débarquer durant la soirée, la nuit, la matinée une horde d'étrangers échoués là par une savante alchimie entre crépuscule et Lonely Planet. appatés par le gain facile et la recherche de paradis artificel essentielle au mâle occidentalen transit. Les marchands de rêve envahissent les rues, les jeunes garçons fournissent leur muscles contre rémunération pour quelques mètres de côtes. Dès 19h30, une guerre larvée pour la conquète des estomacs démarre. Restaurant indien, nourriture infâme.
Déception, oubli. Paysages sublimes.
Rarement une telle forêt préservée des ravages humains s'offre aussi facilement à l'oeil du voyageur. Peu d'animaix s'approchent du rivage, mais des nuées de libellules vrombissent par endroit, des papillons citrons tourbillonnent comme autant de feuilles mortes aspirées par un souffle invisible. Le confort du fleuve attire également les laotiens sur le bateau bus, connexion facile entre les villages. Dès le départ, le chargement hétéroclite se partage entre les sacs à dos, les moteurs de tracteurs, les provisions de riz, de thé, les sièges en rotin et les bisons d'essence vides. Un mouvement lent derrière un bâteau cargo. Jaillissement d'appareils photos. Majestueux, deux éléphants chargent des troncs imposants, loin de toute attraction touristique. Ils perpétuent ce lien millénaire homme, animal suppléant les machines, sans doute inefficace pour ces régions difficiles d'accès.